Bruno, Moniteur D’Auto-École (Épisode 6 : Dans Les Toilettes !)


Virginie venait de quitter Bruno comme chaque samedi à la fin de ses deux heures de conduite. Sur les coups de midi, elle entreprit de prendre le bus pour rentrer chez elle. Bob devait la rejoindre dans le courant de l’après-midi.

Dans l’habitacle du véhicule de l’auto-école, elle avait effleuré le gout du sperme de Bruno, sans véritablement en avaler le jus qu’elle espérait au fond de sa gorge. Bruno en effet avait jouit sur le visage de Virginie. Son excitation ne fut retenue que par l’image de ma belle en train de le sucer jusqu’au point de non-retour, où il vint en plusieurs jets et giclées déverser sa semence sur les habits et la robe de ma dulcinée.

Virginie essuya ce qu’elle avait sur le visage, le menton en particulier. Nono lui-même lui tendit un mouchoir en papier pour ça. La belle le remercia pour ce geste, se léchant délicatement et discrètement les lèvres pour vérifier qu’il ne resta rien, avant de reprendre la route pour rentrer à l’agence.
Dans le miroir du pare-soleil, elle se regarda et se refit une beauté. Bruno la contempla en se rhabillant. Il était vidé et ne bandait plus mais regardait la belle avec admiration. Virginie épongea le sperme qui avait maculé sa robe. Par chance, les fauteuils de la voiture n’étaient pas atteints. Bruno avait peur que cela ne fasse des tâches sur le tissu. Il avait peur surtout que quelqu’un d’autre s’en aperçoive en prenant la voiture pour un autre cours.

De retour chez elle, Virginie ne prit pas le temps de prendre une douche. Il était 15 heures quand Bob arriva, amoureux, heureux de voir que sa belle était toujours de plus en plus jolie. Virginie changea néanmoins de robe, avant l’arrivée de Bob.

- « Comment s’est passé ta conduite aujourd’hui ? » s’enquit Bob.
- « Super ! Ça avance bien », répondit la belle innocemment.

Virginie ne voulait pas donner de détail à Bob et botta en touche sur ce qu’elle a fait en cours de Mercatique, cette semaine, à Paris.

Amoureux, Bob s’énivra des paroles de sa dulcinée. Elle était belle et avait le don de charmer la Terre entière par son regard, ses gestes et petites manières douces et parfois désuètes. Il l’embrassa, la prit dans ses bras :
- « Virginie, tu es la plus belle femme du Monde », lui dit-il.

Virginie regarda Bob dans les yeux. L’émotion palpait son cœur. Elle voyait en lui un être doux, aimant, miraculeux. De loin, elle n’avait jamais imaginé qu’un jour, elle trouverait le grand Amour, celui que l’on écrit avec un grand A ; celui qui vous fait pousser des ailes dans le dos et vous rend la vie plus belle et plus légère. Bob était l’homme de sa vie. Virginie était la femme de Bob pour la vie. Dans son cœur, il n’y avait pas de place pour une autre femme, pas même les Jeannine ou Céline que Virginie pensait être d’éventuelles prétendantes. Non, Bob n’a eu de yeux que pour elle, sa véritable dulcinée et toute autre histoire n’avait aucune importance. Virginie était l’amour de sa vie et rien au monde ne pouvait détruire cela. Virginie pourtant venait de tromper Bob et se garda bien dans un premier temps de lui dire. Enlacées l’un dans les bras de l’autre, nos deux tourtereaux s’embrassèrent de plus belle. Virginie était belle. Bob radieux et fier comme un Artaban d’avoir une fille si jolie près de lui.

Dans le courant de l’après-midi, Virginie emmena Bob vers les toilettes de la maison. C’était une petite pièce sans fenêtre, moins de deux mètres carrés. Virginie y avait emmené plusieurs fois Bob pour se câliner l’un l’autre. Dans la maison, aucune pièce n’avait échappé à leur amour : chambre, bureau, salon, cuisine… aucune, pas même la salle de bain. La buanderie ne dérogea pas à la règle.

Les toilettes étaient une pièce à part car la seule ne possédant pas de fenêtre. Souvent, Virginie y invita Bob pour coquiner, selon ses envies. La belle s’asseyait sur la cuvette des WC. Elle éteignit la lumière et nos deux tourtereaux se livrèrent à leur occupation favorite.
Bob embrassa sa chérie, avec amour toujours, puis plaça son sexe devant la bouche de sa dulcinée ; la belle prodigua à l’élu de son cœur une pipe magistrale dont les murs gardent encore la mémoire. Pour la belle, c’était sa deuxième fellation de la journée ; pour Bob, la première…

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